Nouvelle piste pour l’OM
Si la priorité des dirigeants marseillais est de voir partir certains joueurs, le club olympien souhaiterait recruter un meneur de jeu.
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Les opposants à l’arbitrage vidéo dans le football vont encore avoir matière à s’indigner. Le nombre de situations potentiellement analysables par les écrans est susceptible d’augmenter dans les prochains mois, notamment dans l’optique de la Coupe du monde 2026 en Amérique du Nord (Canada, États-Unis, Mexique).
Deux séquences du jeu pourraient être bientôt concernées : les corners, mais aussi les deuxièmes cartons jaunes distribués à un joueur, qui mènent donc de facto à un carton rouge synonyme d’expulsion. Pour l’heure, seules les potentielles exclusions directes sont comprises dans le protocole, et donc susceptible d’être analysées par les arbitres vidéo, puis d’être signalées à l’officiel sur la pelouse.
« Des exemples explicites ont montré que l’arbitre avait parfois mal apprécié le contact, et avait donné par erreur un second avertissement. En l’état du protocole VAR, il lui était impossible de revenir sur sa décision, décrit le patron de la direction de l’arbitrage de la FFF, Antony Gautier. Ce serait une opportunité qui serait offerte à l’arbitre vidéo d’interpeller l’arbitre pour que celui-ci revoie sa décision. »
Si l’Ifab (International football association board, qui régit les règles du jeu) a expliqué fin octobre se pencher sur ce sujet , qui sera soumis au vote en janvier, le point concernant les corners a été notamment discuté au début du mois de décembre, au cours d’une réunion entre les représentants de l’Ifab et la direction de l’arbitrage des cinq grands championnats (Allemagne, Angleterre, Espagne, Italie, France).
« Le risque qui existe aujourd’hui sur le fait d’ouvrir le protocole VAR aux sorties de ballon en corner, c’est que derrière, on peut avoir la même réflexion par rapport aux sorties en touche, par exemple. L’un des risques, c’est de créer une jurisprudence, pointe Antony Gautier. Je suis plus réservé sur les sorties de ballon en corner, même si je comprends la réflexion qui existe par rapport à l’impact que cela peut avoir sur un potentiel but marqué dans la foulée. »
En avril, le PSG avait égalisé en demi-finale de Coupe de France contre Dunkerque à la faveur d’un corner inexistant, ce qui avait provoqué la colère des joueurs de Ligue 2, finalement éliminé (4-2). En vain, car l’arbitre ne pouvait pas, selon les termes de l’actuel protocole, être informé de son erreur par son assistant installé devant les écrans.

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